Les mûres sauvages sont des fruits délicieux et faciles à trouver lors des promenades en forêt. Cependant, il est important de connaître les risques potentiels liés à leur consommation.
Dans cet article, nous aborderons les raisons pour lesquelles vous devriez éviter de manger ces baies savoureuses.
Fruits rouges : attention aux risques
Bien que les mûres sauvages soient parmi les fruits rouges les plus faciles à trouver et à ramasser, leur cueillette n’est pas sans risque.
Tout d’abord, le buisson est couvert de ronces, ce qui nécessite de porter des gants ou de faire très attention pour éviter les griffures. De plus, plusieurs facteurs peuvent rendre ces fruits nocifs pour la santé.
Proximité des routes et pollution
Un des principaux problèmes des mûres sauvages réside dans leur proximité avec les routes. En effet, les petits fruits noirs poussent souvent au bord des routes ou sur des chemins forestiers, ce qui les rend vulnérables à la pollution atmosphérique.
Les gaz d’échappement des véhicules peuvent contaminer les mûres, surtout si elles sont situées près d’une route très fréquentée.
Une cuisson inadaptée
La cuisson des mûres sauvages peut également poser problème. Lorsque l’on cuit un produit riche en amidon à une température supérieure à 120 degrés, il produit de l’acrylamide, une substance toxique et potentiellement cancérigène. Il est donc préférable de cuire les mûres à basse température pour éviter la formation de cette substance dangereuse.
Risques liés aux animaux et à leur urine
Outre les risques mentionnés précédemment, la cueillette de mûres sauvages comporte également des dangers potentiels associés à la présence d’animaux sauvages, tels que les renards.
Ces créatures se promènent souvent dans les zones où poussent les mûres, et leur urine peut contaminer les baies.
L’urine des animaux sauvages peut contenir des parasites ou des bactéries nuisibles, ce qui peut rendre les mûres dangereuses à consommer si elles ne sont pas soigneusement lavées.
Pour minimiser les risques liés à la présence d’animaux, il est recommandé de ne pas cueillir de mûres dans des zones où les signes d’activité animale sont évidents, comme des excréments ou des traces fraîches.
Si vous décidez de cueillir des mûres dans des endroits où des animaux sauvages sont susceptibles de passer, assurez-vous de bien laver les baies à l’eau courante avant de les consommer.
Cela permettra de réduire le risque de contamination par des substances potentiellement nocives.
En somme, bien que la cueillette de mûres sauvages puisse être une activité agréable et gratifiante, il est essentiel de prendre en compte les risques potentiels liés à la proximité des animaux et à leur urine pour assurer votre sécurité alimentaire.
Conseils pour une cueillette sans risque
Il est possible de profiter des bienfaits des mûres sauvages en suivant quelques conseils simples lors de la cueillette :
- Privilégiez les buissons éloignés des routes et des zones polluées.
- Portez des gants pour vous protéger des ronces et évitez de toucher votre visage pendant la cueillette.
- Lavez soigneusement les fruits avant de les consommer.
- Cuisez les mûres à basse température pour limiter la production d’acrylamide.
Manger local et de saison
Pour bénéficier des bienfaits des fruits rouges sans les inconvénients liés à la cueillette des mûres sauvages, il est recommandé de privilégier les fruits locaux et de saison. Les framboises, fraises ou encore les myrtilles sont des alternatives délicieuses et plus sûres que les mûres sauvages.
En résumé, si les mûres sauvages sont tentantes, mieux vaut les éviter en raison des risques potentiels qu’elles présentent pour la santé. Optez plutôt pour des fruits rouges cultivés dans des conditions contrôlées et respectueuses de l’environnement.
Bonjour
Attention les mûres sont toxiques à cause de la présence des routes que devons nous dire pour nos cultures de blés de maïs de pomme de terre et de nos fruitiers qui poussent le long de nos routes et autoroutes ,…
Vous êtes déconnecté comme nos politiques pour dire cela….
Vous devriez plutôt prévenir les cueuilleurs de ne pas ramasser les fruits en dessous d 1 mètre de hauteur car en dessous les animaux tels que le renard urine sur la plante et peut provoquer des maladies si le fruit n est pas lavés.
J’ai bientôt soixante ans et je cueille et dévore les mûres sauvage depuis bientôt… 60 ans ! Évidemment je n’ai jamais eu aucun problème. Savourer ces fruits en saison est un plaisir gourmand, et certainement plus sain que de manger des mûres pesticidées vendu à prix d’or dans la distribution. On cueille des mûres sur les ronces au hors des chemins, les meilleures sont en haut. .
Je cueille et dévore des mûres sauvages depuis toujours, et je n’ai jamais eu aucun problème. On les cueille sur les ronces au bords des chemins, dans les haies autour des prés . Sauf si vous êtes une « petite nature », maladroit ou sujet à l’hémophilie je ne vous pas l’intérêt de se munir de gants. Les épines sont visibles et il est facile de manipuler une tige sans se blesser. Laver les fruits ? Si vous avez de l’eau sur vous mais pourquoi ? On trouve toutes sortes de germes dans la nature, mais plutot moins que dans les transports en commun ou sur les cintres de magasins de fringues, les tranches des livres en librairie. Ces germes sont facilement éliminés par votre organisme, il est « étudié » pour ça ! Considération hygiénistes mises à part, manger un fruit sur l’arbre, quoi de mieux ?
Merci
La vraie réalité au bord des routes c’est plus la poussière accumulée que les gaz d’échappement
Ce Monsieur a tout à fait raison ! Pour vous, il vaudrait mieux consommer grandes surfaces…!
Immunisons-nous seulement ! Mangeons local et naturel !
Peut être vaut il mieux rester chez soi, bien calfeutré. C’est dangereux dehors…
Bonjour tout à fait d’accord avec vous! Moi idem j’en cueille et dévoré depuis ma tendre enfance! Peut être que des maux de ventre que j’ai pû avoir peuvent provenir des fruits volés dans la nature! Mais bon c’est si bon! Tout ce qui pousse au bord des routes alors tout est mauvais !! 😁
Bon..commentaire
Typique des gens qui ont peur de la nature. Les humains ont vécu de cueillette depuis des millions d’années et je ne pense pas qu’ils lavaient leurs mûres à l’eau courante. Merci de prévenir que les ronces ont des épines, mais je crois qu’un enfant de deux ans le sait déjà. Je rappelle que la vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible.
Encore une fois un journaliste nous sorts des inepties grosses comme lui, des randonnées j’en ai fait, mais jamais en bord de route et tous ceux qui en font sont comme moi, et effectivement on a plus tendance à ceuillir les mûres à notre hauteur voire un peu plus haut, mais on ne prend pas le risque de se coucher pour le faire, de plus c’est là que sont les ronces. Il est grand temps que ces personnes se disant journaliste, cesse ce métier.
c’est pour aller en acheter….moi je les fais et he le regale…..
Pardon mais quel est cette article? Le reportage associé est super intéressant mais déjà, l amidon cuit l’humain en consomme plutôt régulièrement. Je préfère de loin me faire une tarte au baies que de manger des frittes à choisir entre les cancérigènes… et puis l urine de renard est en effet peu hygiénique mais c’est les excréments et non l’urine qui transmet les maladies graves.
Mais d où sortent ces pseudo journalistes n ayant jamais portés un sac de rando ? Il serait temps qu ils aillent trotter dans la verte et être initiés …les baies sont comestibles et ce, depuis toujours et sans risques . Je fais du trek depuis longtemps et jamais de soucis!
Appartement il est observateur, car les renards urinent sur les mûres et pas sur les myrtilles 😂😂😂. Ah les spécialistes a deux balles, c est affligeant quand même
Le fameux « ça ne m’est jamais arrivé donc ça ne peut pas arriver » 🙃
Non mais c’est quoi cet article ??? J’hallucine…
Je m’associe à tous ces commentaires ! Ceux qui écrivent de pareils bêtises devraient aller habiter sur la lune, car ici-bas, tout est malsain et dangereux. Il ne faut pas manger ceci, ni boire cela au petit déjeuner. On commence à tout nous interdire, c’est gai, mais moi, je n’en tient pas compte et me porte bien.